Affichage des articles dont le libellé est Hellfest. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Hellfest. Afficher tous les articles
Whisper Night
Merci MEL pour la découverte ! Whisper Night c'est un groupe de Laval, composé de musicien qui-savent-le-faire. Clairement. Longtemps que j'avais pas écouté un son aussi cash. Je vous mets deux liens, ça s'écoute à coups de pelle dans les gencives.
Il parait qu'ils étaient au HellFest 2018. Moi aussi mais j'étais torché, je me rappelle de rien. Les meilleurs HellFest sont ceux dont on ne se souvient pas.
Il parait qu'ils étaient au HellFest 2018. Moi aussi mais j'étais torché, je me rappelle de rien. Les meilleurs HellFest sont ceux dont on ne se souvient pas.
HellFest 2018
Mon programme en trois points :
- Je me fracasse la tête.
- Je fais n'importe quoi.
- J'embrasse Bruce Dickinson avec la langue.
Faut savoir s'organiser.
Faites chauffer la colle !
Faites chauffer la colle et brûlez des cierges,
le HellFest approche.
le HellFest approche.
Allez, deux vidéos de la grande époque,
pour patienter...
Circle pit (oresque)
Wall of death (truction)
ça fait quoi de louper un HellFest ?
M'en parlez pas, je saigne :`(
Certaines douleurs échappent aux mots. Aux maux.(*)
On se demande juste "POURQUOI"
(*) non, pas homo. Houmos non plus. Zêtes bizzares ou quoi ?(**)
(**) Y a qu'un z à bizarre ?
(**) Y a qu'un z à bizarre ?
M'en fous j'irai quand même !!!!
T’ain pas de
places pour le dimanche au HellFest. Pourtant j’ai tout essayé : presque dès l'ouverture des ventes, à partir de plusieurs adresses IP, reload et tout et tout. Ben non : rien, nada, walou!
Pas grave, j’ai
un plan!
M'en fous, j'irai j'irai j'irai \m/ \m/
Et en attendant, j'en profite pour vous remémorer mes HellFest précédents :
Et en attendant, j'en profite pour vous remémorer mes HellFest précédents :
- Le Hellfest raconté par ma pompe gauche
- Du port de la cotte de mailles dans les concerts de métal
- Ciel mon HellFest !
Le concert d'équilibrium au HellFest !
Retransmis sur Arte live.
Et vous savez quoi, on me voit !
Je suis facile à reconnaître : le mec en noir qui headbang et qui lève le poing en gueulant :)
Ciel mon HellFest !
![]() |
| Merci Clem pour les photos ;) |
Eh ben voilà, je m'en reviens du HellFest 2014. Vous imaginez bien l'envie que j'ai de vous narrer tout ça. Pour plusieurs raisons en fait. D'abord pour vous, innombrables lecteurs, et pour ceux qui auraient aimé venir avec moi et qui n'ont pas pu cette année : ma furax de filleule, Rem, François, Isa, Nico…
Mais cette année j'ai envie de raconter aussi parce que j'ai promis à une amie précieuse d'essayer de lui faire partager ça, alors qu'elle n'est pas métalleuse du tout du tout. Juste elle s'intéresse.
Mais cette année j'ai envie de raconter aussi parce que j'ai promis à une amie précieuse d'essayer de lui faire partager ça, alors qu'elle n'est pas métalleuse du tout du tout. Juste elle s'intéresse.
Et c'est l'angle que je vais adopter dans ce billet. Comment expliquer aux non métalleux pourquoi c'est siiii boooonnnnn ? Comment expliquer ce qu'on vit ce qu'on partage ce qu'on ressent dans un concert métal, dans un festoche métal, le Hell ou un autre.
Alors bien sûr je pourrais commencer par des choses basiques, simples, bien connues : la chaleur du public métal, sa véritable fraternité(*), les mains secourables dès qu'on trébuche, le goût commun d'une museek considérée comme « difficile ». Certains disent même « de barbare » ou « de sauvage ». Ahhh, s'ils savaient à quel point ils ont raison, c'est exactement ça ;) Je pourrais évoquer aussi l'évidente communion, le début de l'été, le lien ancien avec d'importants rituels, la Saint-Jean, la moisson, la renaissance, etc. Tout ça me semble juste, ça sonne vrai, c'est frappé au coin du bon sens.
Ouaip.
Mais ça ne dit pas à mon amie ce qu'on peut ressentir dans son ventre, dans ses tripes, dans sa chair ! Ça ne révèle rien d'intime. Alors, je vais essayer de raconter ça, là maintenant tout de suite, au présent de narration pour faire comme si on y était.
Nous sommes le dimanche matin et ça commence plutôt gentiment. Arrivés tôt avec Clem, garé n'importe comment sur le pont autoroutier tellement il y a de voitures, puis direct dans la warzone pour Cobra. Ils ont bien poutré. J'aime pas trop leurs textes mais ça empêche pas de s'éclater quand même, hein ? Là-dessus petit café tranquille, Clem s'en renverse plein (tel père tel fils, le pauvre), discussion avec des métalleux sympas et tout plein de poils, j'en profite pour me remettre à fumer comme un pompier après dix ans d'abstinence.
Un début plutôt sage et tranquille donc.
Petite monté en puissance sur le main stage avec un Lofofora très en forme. Bien au-dessus à mon avis de groupes plus internationaux. Beaucoup de fans étaient venu les voir alors que c'était tout juste l'aurore (midi-trente :). Toujours dans un esprit calme et détendu on fait la jonction avec Gomor et Laurence qui viennent d'arriver, petites bières, et puis un peu de Horror Métal avec Ruins of Beverast. Tout ça plutôt gentillet et bien poli.
Un genre d'échauffement quoi.
Pour moi les choses commencent à monter vraiment avec Seether. Pas le groupe le plus extrême, loin de là, mais je les adore et je les suis depuis longtemps. Ils me parlent droit au cœur (regardez donc ce clip : fine again). Franchement sur scène ils ont la ouache. Egalement je comprends pourquoi Amy Lee d'Evanescence est sortie avec le chanteur ; même moi j'avais envie d'aller lui faire un bisou c'est pour dire. Puis ça continue tranquille, jonction avec Moutane. Je commence à me sentir bien dans le HellFest, concerné, touché, ému.Heureux quoi.
Je ne le sais pas encore mais tout ça n'est rien, mais alors rien de rien, à côté de ce que je vais vivre dans quelques minutes… Nous arrivons sous la tente pour le set d'Equilibrium. Et là c'est vrai que ça part franchement fort. Ils commencent à nous mettre la guerre comme jamais j'ai entendu. Magnifeek ! Surpuissant, mélodieux, propre et pourtant tellement authenteek. Je laisse mon sac à Gomor et je m'avance, je me faufile et j'arrive à mettons 4 ou 5 mètres de la scène.
C'est à ce moment précis qu'ils entonnent Turis Fratyr suivi de Wingthors Hammer. Enfin je crois, j'en suis pas sûr : PARCE QU'A CE MOMENT PRÉCIS JE ME SUIS ENVOLE !
Voilà, c'est ça qui s'est passé : j'ai volé au-dessus du HellFest pendant une fraction d'éternité ! Juste le temps de remercier le monde d'être aussi beau vu d'en haut. C'est exactement ça qu'il faut comprendre. A un moment c'est plus de la museek, c'est plus un concert, c'est plus un groupe qui poutre et toi qui écoute. Non. C'est tellement physeek, sensuel, irréfutable que c'est juste VOLER DANS LE CIEL(**). Ni plus ni moins.
Juré, je ne sais même plus ce qui s'est passé après. Je me suis retrouvé par terre à la fin du set, vautré, t-shirt archi-trempé et crado, le cou défoncé à cause du headbang, ma côte félée qui grinçait méchamment, de la poussière plein la gorge et les yeux, les mains qui tremblaient, ma lèvre du bas qui saignait, mal partout, des larmes sur les joues...
Je ne me suis jamais senti aussi bien !
Et puisque je suis dans l'intime, laissez-moi vous livrer ce minuscule détail très légèrement impudeek : mes deux petits tétons tendus à m'en faire mal sous mon t-shirt « fuck reality »! Du coup je me suis mis torse nu. Quand on part dans le sensuel faut pas faire les choses à moitié !(***)
Bon, vous vous doutez bien que la suite c'était que du bon : passer du temps avec Clem, Gomor, Laurence, Jean-Greg, partager, se renverser du poulet frite mayo sur la jambe droite, goûter au red-bull cranberry (dégueu !), taxer des clopes faire voler la poussière avec nos jolies godasses et écouter écouter écouter. Le tout en sachant que dorénavant je sais voler !
Le but n'est pas de faire aimer à ceux qui ne sont pas dedans, j'espère juste avoir réussi à partager un peu : c'est trop bon, le garder pour moi tout seul c'est vraiment pas cool !
Allez bisous à tous, je vous love.
\m/
(*) Clem s'est fait rouler une pelle juste comme ça par une jolie métalleuse qui passait :) Il n'en revenait pas ! Dans un sens il a eu de la chance, parce que ça aurait pu être un gros métalleux à la place.
(**) En effet, "voler dans le ciel" c'est un pléonasme, et alors ? Allez, retourne vite lire l'article au lieu de te taper les notes de bas de page.
(***) Si le coup des tétons vous semble gênant, je m'en excuse platement. Et surtout n'hésitez pas à changer, on est entre nous. Par exemple à la place vous pouvez imaginer que ... ou que ... voire même que ... (beurk !)
Trou de mémoire !
C’est quoi déjà
le truc dans une semaine ? Mais si, un truc super important pour les
métalleux... T’ain j’aurais dû le noter ! Ça se passe vers Nantes, ça duretrois jours, un grand moment de love pour tous les métalleux... Bon j’sais plus, mais ça va me revenir.
Clem, dis-moi si tu te souviens...
On est pas censés y aller tous les deux d'ailleurs ?
Photo trouvée sur le site de 20 minutes. Si ça gène dites le, je l'enlève et je met une photo moche et triste de gens assis bien sagement qui s'ennuient en écoutant du classique.
Du port de la cotte de mailles dans les concerts de métal
Autant vous l’avouer
tout de suite, je n’ai jamais cru aux cottes de mailles. Tout petit déjà je
jouais aux chevaliers et je me demandais comment une simple cotte de mailles pouvait
arrêter le moindre coup de glaive. En grandissant, j’ai considéré d’un œil hautain
la mode de la cotte de mailles dans les concerts de métal. Certes je trouvais ça esthétique - limite sexy - mais je doutais de la résistance aux
chocs. J’imaginais la cotte de mailles se débiner comme un tricot au
premier pain sérieux pendant un slam. Bref, je croyais que c’était de la camelote kitsch et onéreuse.
Samedi dernier j’ai changé d’avis.
J’étais
tranquillement au Hellfest en train de taper sur tout ce qui bougeait dans un
rayon de deux mètres autour de moi. Normal, c’était le concert de P.O.D. et ça
secouait un peu (énorme, sans déconner, énorme !). Là-dessus Sonny Sandoval lance un circle pit de folie. Je n'avais jamais osé participer
mais là c’était trop bon : j’ai foncé ! Mais alors ce qui s’appelle
foncer. Un peu comme une voiture bélier dans une bijouterie. Je dis ça, j’ai
rien contre les bijouteries, c’est pour donner une image. D'ailleurs, je vous
met le film courageusement réalisé par Rem, histoire que vous sentiez bien l’ambiance.
Le truc à comprendre rapidement dans un circle pit, c’est qu’une fois qu'on y est on ne peut plus s’arrêter
de tourner. Par exemple si les mecs de devant traînent un peu il faut absolument
les emplafonner, en tout bien tout honneur, sous peine de se faire emplafonner
par les mecs de derrière. En tout bien tout honneur aussi. Transitivement, tout
le monde s’emplafonne joyeusement en essayant d’éviter de s’emplafonner. Que du bonheur.
Que du bonheur, sauf si le mec juste devant porte une cotte de mailles et s’arrête tout net... Et
c’est très précisément là que je veux en venir depuis le début : en fait,
c’est vachement solide une cotte de mailles ! Mais alors vachement
vachement ! J’ai très légèrement douillé sous le choc. À ma décharge j’avais
déjà une cote fêlée depuis le samedi d’avant, mais quand même. Je me suis embouti contre ladite cotte de mailles avec la même tendresse qu’un pavé contre la tête d’un CRS. Je dis ça, j’ai
rien contre les CRS, c’est pour donner une image.
En un instant j’ai
craché les quatre litres d’air de mes poumons et les deux litres de bière de mon
estomac. Il est possible que - dans la confusion - j’ai également lâché un bon
litre de gaz, mais omettons ce détail. C’est juste pour expliquer qu’après ça j’étais
plat comme Jane Birkin. Je dis ça, j’ai rien contre Jane Birkin, c’est pour
donner une image(*). J’ai hésité entre m’évanouir immédiatement et perdre
connaissance illico. Dans le doute j’ai fait les deux en même temps. Heureusement j’ai
très vite été réveillé par les autres furieux de derrière qui se sont
emplafonnés sur moi. Je les avais oublié ceux-là. Ça a eu pour effet de relancer
la rotation et nous sommes tous reparti pour plusieurs tours comme si de rien n’était.
Après presque une minute de centrifugeuse (c'est long !), je suis sorti hilare en hurlant quelque chose comme « Beeuuaaarrgg Fuuckiiiiiiiinngg Metaaaallll Of Deaaaaaaattthh!!!!! » approximativement. Certes, tout ça ne m’a pas rendu plus intelligent mais au
passage j’ai quand même appris deux trois trucs utiles que je vous résume ici :
- Tout bien considéré, une cotte de mailles c’est solide. À titre indicatif c’est environ trois fois plus solide qu’une côte flottante gauche déjà fêlée.
- Il n’y a pas que maille qui m’aille.
- Dans les circle pits, rien ne sert de partir à point, il vaut mieux courir(**) et ne pas s’arrêter.
La prochaine fois je tenterai un circle pit à reculons et à cloche pied avec les yeux bandés et un bras dans le plâtre. Mais n'anticipons pas, pour l'instant je reste un débutant.
(*) Au fait, merci
à Clem pour la relecture de cet article et ses conseils de rédaction.
(**) Merci Coluche ;)
Le Hellfest raconté par ma pompe gauche
Je m’en reviens du samedi au Hellfest avec Vic, François et Rem. J’aurais pu
partager ça directement avec vous pour vous dire à quel point c’était
fantasteek. Mais je préfère, et de loin, laisser la parole à ma pompe gauche.
Elle qui a vécu l’événement avec une intensité i-né-ga-la-ble.
Pompe gauche, c’est quand tu veux.
Pompe gauche, c’est quand tu veux.
Bonjour, mon nom est Adidas Riot Supernova 2. Je suis la pompe gauche de MetallurGeeK
et je peux vous dire qu’au quotidien c’est le pied : c’est moi qui court
avec lui, entrecoupé de pompes(*) et de tractions. C’est moi qui était à son
pied gauche pendant tout le Hellfest. Ou plutôt qui était à son pied gauche
pendant *presque* tout le Hellfest. Mais commençons par le début.
MetallurGeeK et moi sommes arrivés samedi matin de bonne heure parce qu’on
ne voulait pas louper Asking Alexandria. MetallurGeeK a bu quelques bières en prenant
bien soin de m’en renverser un peu dessus, comme toujours. Puis, ma sœur pompe droite et moi,
nous avons emmené MetallurGeeK jusqu’à la scène.
J’accélère un peu le récit pour arriver au moment clé : en plein milieu
du concert d’Asking Alexandria. Autant vous dire que ça poutrait, mais alors d’une
force ! De mémoire de pompe j’avais jamais entendu ça. MetallurGeeK était
gentiment déchaîné, alternant headbang, slam et gueulantes. Le minimum syndical
pour un samedi midi.
Et voilà qu’arrive le moment du wall-of-death, ce délicat moment ou une moitié du publeek se précipite vers l'autre et inversement. Je suis d’accord avec vous, un
wall-of-death le samedi midi c’est un peu épicé. Mais bon, c’est le Hellfest ou
pas ? D’ailleurs je vous mets le film que Rem a fait(**) histoire que vous
sentiez bien l’ambiance : c’est important pour apprécier pleinement la suite du récit.
Con comme une enclume, MetallurGeeK s’élance contre les autres métalleux d’en
face. Je sais pas comment il fait son compte, mais toujours est-il que sa jambe
gauche file en avant à la vitesse du son alors que le reste de ses 90 kilos est
stoppé net par une sorte de bloc de viande plein de piercings. Et là, c’est le drame(***) :
moi, sa pompe gauche préférée, je me vois arrachée de son pied par la force
centrifuge. Me voilà propulsée en plein milieu du wall ! Dans ma petite tête
de pompe, c’est plus Asking Alexandria que j’entends mais du Pink Floyd : « All
in all you're just another pompe in the wall ! »
L’enfer je vous jure : une forêt de jambes surexcitées me piétinent
dans la boue du Hellfest. Ça shoote de partout, ça tabasse des pieds, deux
trois gros lards me tombent même dessus. Je vais y passer, virer pompe funèbre.
Et là, mon sauveur, mon héros ! MetallurGeeK, n’écoutant que sa connerie,
plonge tête baissée dans le wall et me cherche héroïquement à quatre pattes
dans la boue. Il prend des beignes, il glisse, il grimace comme un chanteur de
grindcore mais il avance tout de même comme un gros bourrin. M’a-t-il vu ?
J’en doute dans cette furie de guibolles métalleuses, mais son instinct est infaillible:
il m’a flairée ! Par-dessus les relents de bétail, par-dessus la sueur et
la bière, il a pisté l’odeur inimitable de sa pompe gauche !
Après ce qui semble une éternité, sa main se referme enfin sur moi. Sauvée ! Nous
nous relevons, triomphants. Il me brandit vers les cieux, moi qui naguère ne
foulait que la fange. Il est beau, plein de boue, planté comme une statue
grecque en plein milieu du slam de folie et brandissant bien haut sa pompe
gauche. Je me souviendrais longtemps de la tronche du chanteur d’Asking
Alexandria genre : « mais qu’est-ce qu’il fout celui-là avec sa pompe
à la main ?!? »
C’était si intense, j’en suis toute retournée ! Pour la suite, je vais
redonner la parole à MetallurGeek dans un prochain billet (ou pas).
(*) Mouaif...
(**) En observant attentivement le film, l’oeil averti notera peut-être
quelques légers mouvements de caméra. Nous excusons bien évidement Rem pour ces
menus défauts techneeks et nous ne retiendrons que la performance qui consiste
à filmer un wall-of-death *de l’intérieur*.
(***) Comme dirait Erwan ;)
Pop Redemption
Alors ça s'appelle Pop Redemption et ça m'a l'air sympatheek !
Et puis un film qui parle du Hellfest, faut pas louper !
Et puis un film qui parle du Hellfest, faut pas louper !
En plus il y a Alexandre Astier qui parle du film ici,
et aussi Yacine Belouse qui me pisse de rire
(ne loupez pas le passage sur les filles au foot).
et aussi Yacine Belouse qui me pisse de rire
(ne loupez pas le passage sur les filles au foot).
Et pour finir, dans Pop Redemption,
il y a Audrey Fleurot et ça c'est bien aussi.
il y a Audrey Fleurot et ça c'est bien aussi.
Hellfest - Le métal expliqué à ma mère
Bande de petits graisseux, bandes de petites graisseuses. À l'heure où vous faites chauffer la colle pour le HellFest, à l'heure où vous mettez les bières au frais, c'est l'occasion révée de (re)visionner cet excellent reportage :
Pourquoi excellent ? Tout d'abord parce qu'il sonne vrai, une prouesse puisque chacun sait que les écrans sont des boîtes à illusions. Ensuite parce qu'il est réalisé avec sérieux et avec une indispensable pointe d'auto dérision. Enfin parce qu'il tient sa promesse : il explique (un peu) le métal à ma mère. Il pourrait aussi expliquer le métal à ma filleule, mais en l'occurrence c'est plutôt elle qui aurait des choses à m'enseigner en la matière (bisous ma grande !)
Alors cervoise bien fraîche, cahuètes grillées à sec(*), câble HDMI jusqu'à l'écran, et c'est parti pour une heure de bonheur.
(*) avec du gravier.
Houla qu'il est beau (le billet du Hellfest:)
Franchement il a de la gueule mon billet pour le Hellfest Open Air 2013, enfin juste pour le samedi.
Et après on va dire que je fais une fixette sur les zombies...
Par contre, je le mets en petit et avec les infos sensibles supprimées, histoire d'éviter les contrefaçons.
Inscription à :
Commentaires (Atom)





.jpg)

