Quel est le mois préféré des geeks ?
Réponse : a.out
Ouaip, ça fait rire que les gros geek... Et encore.
Ciel, mon étoile !
Cette nuit j’ai contemplé les
étoiles. Très longtemps. C’est dangereux de faire ça : on risque de se mettre à
penser… Et puis, « à regarder le ciel trop longtemps, on risque de ne plus
pouvoir poser les yeux sur terre ». Cette phrase là n’est pas de moi. Elle
est de François Truffaut quand il avait 16 ans. Ça m’agace les mecs comme ça, tellement doués qu’ils écrivent MES phrases avant même que je sois né !
En cherchant bien, j’ai cru apercevoir une étoile que
je ne connaissais pas : toute petite, un peu cachée dans le fond. Pas la plus
brillante, pas la plus belle, pas la plus moche non plus…
À force de l'observer, j’ai compris qu’elle
ne brillait QUE pour moi. À bien l’admirer, finalement je me suis dit qu’en
fait si : elle était la plus belle, la plus brillante, la plus chaleureuse. Et elle
n’était pas du tout dans le fond mais bien devant toutes les autres. Comment avais-je fait pour ne pas la voir plus tôt !
Alors cette étoile là je ne sais pas encore la nommer, mais maintenant je sais qu’elle existe. Rien que pour moi.
Trop d’la chance j'avoue, la vie d’ma reum ! J'te parle cash là, sérieux tavu ?
Le plus génial, c’est que des étoiles il y en
a des zillions. Alors vite vite va dehors au lieu de lire Metallurgeek. Regarde le ciel bien droit dans les yeux. Et trouve là TON étoile : la plus belle, la
plus brillante de l’univers celle qui brille rien que pour toi ! (1)
Allez promis, mon prochain billet parlera soit
de geek soit de métal, genre le dernier album d’Eluveitie. Parce que « la
poésie c’est comme la bière : au début ça pétille mais au bout d’un moment ça
saoule » (ou pas ;)
Tiens Truffaut dans ta face, moi aussi j’en
fais des phrases !
(1) Ceux que le tutoiement gêne un peu peuvent bien entendu aller sur une page qui vouvoie.
(1) Ceux que le tutoiement gêne un peu peuvent bien entendu aller sur une page qui vouvoie.
Metallurgeek a trois ans \m/
![]() |
| Image n'ayant rien à voir avec le texte mais qui symbolise le plaisir que je ressens à vous remercier. |
Ayé, Metallurgeek a trois ans ! Et
tenez-vous bien, il y a un an Metallurgeek avait très exactement deux ans.
C’est pas pour me vanter mais moi j’appelle ça tenir un planning ! Je
reviendrais d’ailleurs dans un prochain billet sur la question de la tenue de
planning parce que je suis pas toujours aussi bon ;)
Alors qu’est-ce que je vais bien pouvoir vous
offrir pour mes trois ans ? Je pourrais tout à fait vous proposer une
rétrospective et des statisteeks délirantes (ou pas) comme à mon habitude.
Mais en fait, non. À la place, je voudrais tout
simplement VOUS remercier et remercier toutes les personnes ADORABLES qui m’ont
aidé lors de mon récent passage à vide. Et qui m’aident encore avec leur
camaraderie, leur bienveillance, leurs commentaires sur ce blog, leur amitié. Sérieux
j’en reviens pas qu’autant de personnes me témoignent de l’attention(1)
Ceci dit, remercier c’est généralement trèèèèèès
difficile. Parce qu’on oublie toujours quelqu’un, parce qu’on remercie trop l’un
et pas assez l’autre, parce que ceci, parce que cela… Mais là pour une fois ça
va être simple. Parce que déjà je vais remercier des gens qui ne se connaissent
pas entre eux, et parce que je vais utiliser des surnoms mageek. Et aussi
parce que je vais remercier DU FOND DU CŒUR. Comme ça je ne peux pas me
tromper !
Alors sans plus attendre, et par ordre
chronologeek, un IMMENSE MERCI À :
* Deux amazones – bon en fait c’est mes petites
sœurs – ainsi que leurs moitiés respectives, des vrais warriors, pour leur
soutiens indéfectible. Mes soeurettes c’est comme un fan club, mais en mieux.
Comme des supporters, mais en mieux. C’est mes hooligans à moi, mes groupies,
mes idolâtres. Moitiés débiles, moitiés tarées, 100% folles de moi. Sérieux,
je pourrais jamais leur rendre le dixième de ce qu’elles m’offrent. En plus moi
je peux pas les saquer… Normal c’est mes soeurs ;)
* Un ours métalleux surnommé Mel : tout griffe
dehors, tout miel dedans.
* Un anesthésiste éveillé et lucide, aux
commentaires délirants, bien connu sur ce blog.
* Un sage épicurien qui sait à la seconde près
quand il faut débarquer avec un bon camembert et des bières.
* Deux vieux sages qui aiment bien la vie et a
qui la vie le rend bien ! Il est possible que ces deux là m’aient
engendrés un jour, dans un moment un peu moins sage.
* Un compagnon de HellFest, qui a le cœur
sur la main et dont le seul défaut est de balancer régulièrement des téléphones
portables dans les toilettes (il est l’inventeur du « téléphone chiottable »)
* Une certaine guerrière, rare et précieuse, qui
m’a tant donné. Elle m’a ré-appris à rire et m’a aidé à m’envoler par-dessus mon vélo.
* Une authenteek magicienne qui m’a appris à
écouter, à ne pas avoir peur dans le noir, à manger créole (ça arrache bien
quand même), et tant de choses encore.
* Une certaine chercheuse de perle rare, un peu poétesse
aussi, qui m’a réappris tellement que je ne peux pas tout noter ici, citons au
moins la confiance en moi, et aussi ça, et ça, et aussi tout ça, sans oublier
ça. Et peut-être même ça.
* Une sorcière tourbillonnante bien connue de
tous les métalleux et qui s’inquiétait pour moi ici même sur ce blog. Elle n’est
pas près de s’arrêter de tourbillonner !
* Un "vieux machin" (genre exactement
de mon âge :) qui est réapparu pile au bon moment pour me rappeler que les
vrais potes c’est là pour la vie entière et pas juste les 30 premières années.
* Une grande érudite, un peu guerrière aussi
(et athlète !) qui m’a appris à penser positivement, à m’assumer, et qui me
donne tant et tant d’amitié.
* Une mystérieuse elfe des bois qui m’offre du
respect, du respect, du respect.
* Une certaine poétesse métalleuse qu’on
appelle Nanie et qu’on peu lire ici (3). Elle doit être un peu magicienne aussi parce qu’elle arrive à regarder au
fond de l’âme. Ou alors c’est son appareil photo qui est d’un modèle spécial,
uneek en son genre...
* Je voudrais offrir un merci tout spécial à une samaritaine et à ceux qui me l’ont fait connaitre. Cette samaritaine là donne de l’eau à
ceux qui ont soif, pour qu’ils n’aient plus jamais soif, et puissent donner de
l’eau à leur tour à ceux et celles qui ont soif (si j’ai bien tout compris, il
est possible que jke fasse des contresens :). De l’eau j’en donne des
litres à quelqu’un qui se bat en ce moment contre la maladie. Perso, il
m’arrive aussi de carburer à la Bière Lancelot, mais en gros le principe reste
le même.
* Et bien sûr j’oublie trop plein de monde :
ma filleule préférée qu’il ne faut pas faire chier sinon elle mord direct à la
jugulaire (Kev, fais bien gaffe :), un certain G. déjà fort sage pour son
âge et connu sur ce blog, Rem, Anto, François, Bibi, Flo, Armel, Nath,
Michelle, Jas, Inès, Yves, Erwan…
* Bon j’oublie qui encore là ? Ah oui, le
plus important, juste le plus important ! MES TROIS LUTINS. Trois petits
lutins de rien du tout sans lesquels ma vie serait… ben rien du tout, justement.
Trois minus tout malicieux, moitié fripons moitié filous, et qui grandissent
vite. Tellement vite…
Alors à toutes et tous, à tous ceux qui me
lisent et me commentent avec tant d’inspiration(2), par trois fois je vous le
dis : merci merci merci.
Allez, j’arrête ici parce qu’après on va tous
se pleurer dans les bras les uns des autres, ça va devenir chiant.
(1) D’ailleurs je vais ajouter un lien pour que vous
puissiez m’envoyer du pognon, de la grosse caillasse direct !
(2) Pas toujours, il y a aussi des commentaires nuls à
chier ;)
(3) Si en lisant ses textes vous trouvez deux trois
fôtes, ne ricannez pas. Nanie elle écrit ainsi : d’un seul trait, comme ça
lui vient, comme elle ressent. Alors lisez avec les yeux du coeur, pas avec les
yeux de la maîtresse d’école.
Conversation musicale avec ma fille
Le contexte : nous sommes au petit
déjeuner les enfants et moi, tranquilles. En fond sonore France Inter diffuse le
Boléro de Ravel. Nous voilà partis à discuter là-dessus : est-ce qu’on
aime, est-ce qu’on n’aime pas, le côté lancinant, répétitif, tout ça tout ça.
Et je vous retranscris une portion du dialogue qui s’en suit.
Moi : « Vous trouvez pas qu’il y a
quelque chose de commun entre le Boléro de Ravel et le morceau Kashmir de LedZeppelin ? »
Ma fille : « Ben forcément c’est
tous les deux des ostinatos. »
Moi : « des quoi ?!? »
Sérieux, ça m’apprendra a prendre les
enfants de haut avec ma culture musicale. Maintenant je suis en train de lire
la page wikipedia ostinato.
Note : mes loupiots ont lu le texte et ils sont d'accord pour que je le poste, même ils sont morts de rire :)
J'ai été mordu par un druide !
Une question me
trotte dans la tête… ça fait quoi quand on se fait mordre par un druide ?
Parce
quand on se fait mordre par un vampire je sais à peu près ce que ça fait :
sueurs froides, tremblements, légère intolérance à la lumière de l’aube, tomber
amoureux de Kristen Stewart, etc. Des symptômes bien connus donc. Et plutôt bénins.
Mais moi c’est pas du tout ce que j’ai.
Ce sont d’autres symptômes très bizarres : envie de me balader en forêt, envie de me coucher dans l’herbe et de sentir la terre tout entière en dessous de moi, envie d’écouter le petit merle qui chante sur la branche, oui le petit merle le « Merlin » si vous préférez...
Ce sont d’autres symptômes très bizarres : envie de me balader en forêt, envie de me coucher dans l’herbe et de sentir la terre tout entière en dessous de moi, envie d’écouter le petit merle qui chante sur la branche, oui le petit merle le « Merlin » si vous préférez...
Et aussi envie d’entourer délicatement les poignets d’une jolie fée des bois avec une
couronne de lierre tressé, mes yeux de druide dans ses yeux de fée, en lui murmurant des conneries druideeks du genre "c'est pour la vie entière".
Et puis quand je
ferme les yeux, j’entends des drôles de museeks dans ma tête, écoutez donc, j'en copie-colle par-ci par-là dans le billet… C'est chelou quand même : pas un riff de guitare, pas même un solo de basse.
Clairement c’est
pas des symptômes de vampire ça. D’où ma question : ça fait quoi
quand on se fait mordre par un druide ?
Alors les plus
rationnels d’entre vous objecteront à juste titre qu’un druide ça ne mort pas. Ouaip.
Ben en fait ça se discute. Parce qu’il y a quand même plein de créatures de la vie
réelle qui mordent : les vampires, les zombies, les loups garous. Même le
chien qui m’a poursuivi l’autre jour en vélo, j’ai bien l’impression qu’il voulait
mordre(*). Alors pourquoi pas un druide…
Un druide-garou
ça existe ?
![]() |
| Merci à Clem pour la photo |
Ah, c’est
teigneux un druide !
Bon faut pas
dramatiser non plus. Une morsure de druide ça doit pas être mortel, du moins j’espère.
Alors je vais essayer de vous tenir informé(***) des symptômes au fur et à mesure.
Je dis bien essayer parce qu’il est possible que je passe une grande partie de
mes nuits à danser dans la forêt ou à regarder les étoiles, comme font les
druides standards. Et donc ça laisse moins de temps pour blogguer.
Une prochaine
fois je me ferais mordre par un George Clooney ou par un Brad Pitt-Bull, ce sera quand même plus simple.
Ou pas.
Ou pas.
(*) Sérieux c’est
endurant ces bêtes-là, je pédalais comme un malade il voulait pas lâcher
l’affaire !
(**) Ah zut,
j’avais réussi à na pas parler du HellFest jusqu’à maintenant… Très estimé G.
tu avais raison dans ton commentaire, j’en parle quand même beaucoup du
HellFest :)
(***) Au début j'avais écrit "vous tenir informer" avec "er". C'est une faute. Pour savoir si c'est "é" ou "er" il faut remplacer par le verber mordre. Si on dit "mordu" il faut écrire "é" si on dit "mordre" il faut écrire "er". Par quel verbe il faut remplacer déjà ? Mordre ? Hummhumm...
(***) Au début j'avais écrit "vous tenir informer" avec "er". C'est une faute. Pour savoir si c'est "é" ou "er" il faut remplacer par le verber mordre. Si on dit "mordu" il faut écrire "é" si on dit "mordre" il faut écrire "er". Par quel verbe il faut remplacer déjà ? Mordre ? Hummhumm...
Le concert d'équilibrium au HellFest !
Retransmis sur Arte live.
Et vous savez quoi, on me voit !
Je suis facile à reconnaître : le mec en noir qui headbang et qui lève le poing en gueulant :)
Ciel mon HellFest !
![]() |
| Merci Clem pour les photos ;) |
Eh ben voilà, je m'en reviens du HellFest 2014. Vous imaginez bien l'envie que j'ai de vous narrer tout ça. Pour plusieurs raisons en fait. D'abord pour vous, innombrables lecteurs, et pour ceux qui auraient aimé venir avec moi et qui n'ont pas pu cette année : ma furax de filleule, Rem, François, Isa, Nico…
Mais cette année j'ai envie de raconter aussi parce que j'ai promis à une amie précieuse d'essayer de lui faire partager ça, alors qu'elle n'est pas métalleuse du tout du tout. Juste elle s'intéresse.
Mais cette année j'ai envie de raconter aussi parce que j'ai promis à une amie précieuse d'essayer de lui faire partager ça, alors qu'elle n'est pas métalleuse du tout du tout. Juste elle s'intéresse.
Et c'est l'angle que je vais adopter dans ce billet. Comment expliquer aux non métalleux pourquoi c'est siiii boooonnnnn ? Comment expliquer ce qu'on vit ce qu'on partage ce qu'on ressent dans un concert métal, dans un festoche métal, le Hell ou un autre.
Alors bien sûr je pourrais commencer par des choses basiques, simples, bien connues : la chaleur du public métal, sa véritable fraternité(*), les mains secourables dès qu'on trébuche, le goût commun d'une museek considérée comme « difficile ». Certains disent même « de barbare » ou « de sauvage ». Ahhh, s'ils savaient à quel point ils ont raison, c'est exactement ça ;) Je pourrais évoquer aussi l'évidente communion, le début de l'été, le lien ancien avec d'importants rituels, la Saint-Jean, la moisson, la renaissance, etc. Tout ça me semble juste, ça sonne vrai, c'est frappé au coin du bon sens.
Ouaip.
Mais ça ne dit pas à mon amie ce qu'on peut ressentir dans son ventre, dans ses tripes, dans sa chair ! Ça ne révèle rien d'intime. Alors, je vais essayer de raconter ça, là maintenant tout de suite, au présent de narration pour faire comme si on y était.
Nous sommes le dimanche matin et ça commence plutôt gentiment. Arrivés tôt avec Clem, garé n'importe comment sur le pont autoroutier tellement il y a de voitures, puis direct dans la warzone pour Cobra. Ils ont bien poutré. J'aime pas trop leurs textes mais ça empêche pas de s'éclater quand même, hein ? Là-dessus petit café tranquille, Clem s'en renverse plein (tel père tel fils, le pauvre), discussion avec des métalleux sympas et tout plein de poils, j'en profite pour me remettre à fumer comme un pompier après dix ans d'abstinence.
Un début plutôt sage et tranquille donc.
Petite monté en puissance sur le main stage avec un Lofofora très en forme. Bien au-dessus à mon avis de groupes plus internationaux. Beaucoup de fans étaient venu les voir alors que c'était tout juste l'aurore (midi-trente :). Toujours dans un esprit calme et détendu on fait la jonction avec Gomor et Laurence qui viennent d'arriver, petites bières, et puis un peu de Horror Métal avec Ruins of Beverast. Tout ça plutôt gentillet et bien poli.
Un genre d'échauffement quoi.
Pour moi les choses commencent à monter vraiment avec Seether. Pas le groupe le plus extrême, loin de là, mais je les adore et je les suis depuis longtemps. Ils me parlent droit au cœur (regardez donc ce clip : fine again). Franchement sur scène ils ont la ouache. Egalement je comprends pourquoi Amy Lee d'Evanescence est sortie avec le chanteur ; même moi j'avais envie d'aller lui faire un bisou c'est pour dire. Puis ça continue tranquille, jonction avec Moutane. Je commence à me sentir bien dans le HellFest, concerné, touché, ému.Heureux quoi.
Je ne le sais pas encore mais tout ça n'est rien, mais alors rien de rien, à côté de ce que je vais vivre dans quelques minutes… Nous arrivons sous la tente pour le set d'Equilibrium. Et là c'est vrai que ça part franchement fort. Ils commencent à nous mettre la guerre comme jamais j'ai entendu. Magnifeek ! Surpuissant, mélodieux, propre et pourtant tellement authenteek. Je laisse mon sac à Gomor et je m'avance, je me faufile et j'arrive à mettons 4 ou 5 mètres de la scène.
C'est à ce moment précis qu'ils entonnent Turis Fratyr suivi de Wingthors Hammer. Enfin je crois, j'en suis pas sûr : PARCE QU'A CE MOMENT PRÉCIS JE ME SUIS ENVOLE !
Voilà, c'est ça qui s'est passé : j'ai volé au-dessus du HellFest pendant une fraction d'éternité ! Juste le temps de remercier le monde d'être aussi beau vu d'en haut. C'est exactement ça qu'il faut comprendre. A un moment c'est plus de la museek, c'est plus un concert, c'est plus un groupe qui poutre et toi qui écoute. Non. C'est tellement physeek, sensuel, irréfutable que c'est juste VOLER DANS LE CIEL(**). Ni plus ni moins.
Juré, je ne sais même plus ce qui s'est passé après. Je me suis retrouvé par terre à la fin du set, vautré, t-shirt archi-trempé et crado, le cou défoncé à cause du headbang, ma côte félée qui grinçait méchamment, de la poussière plein la gorge et les yeux, les mains qui tremblaient, ma lèvre du bas qui saignait, mal partout, des larmes sur les joues...
Je ne me suis jamais senti aussi bien !
Et puisque je suis dans l'intime, laissez-moi vous livrer ce minuscule détail très légèrement impudeek : mes deux petits tétons tendus à m'en faire mal sous mon t-shirt « fuck reality »! Du coup je me suis mis torse nu. Quand on part dans le sensuel faut pas faire les choses à moitié !(***)
Bon, vous vous doutez bien que la suite c'était que du bon : passer du temps avec Clem, Gomor, Laurence, Jean-Greg, partager, se renverser du poulet frite mayo sur la jambe droite, goûter au red-bull cranberry (dégueu !), taxer des clopes faire voler la poussière avec nos jolies godasses et écouter écouter écouter. Le tout en sachant que dorénavant je sais voler !
Le but n'est pas de faire aimer à ceux qui ne sont pas dedans, j'espère juste avoir réussi à partager un peu : c'est trop bon, le garder pour moi tout seul c'est vraiment pas cool !
Allez bisous à tous, je vous love.
\m/
(*) Clem s'est fait rouler une pelle juste comme ça par une jolie métalleuse qui passait :) Il n'en revenait pas ! Dans un sens il a eu de la chance, parce que ça aurait pu être un gros métalleux à la place.
(**) En effet, "voler dans le ciel" c'est un pléonasme, et alors ? Allez, retourne vite lire l'article au lieu de te taper les notes de bas de page.
(***) Si le coup des tétons vous semble gênant, je m'en excuse platement. Et surtout n'hésitez pas à changer, on est entre nous. Par exemple à la place vous pouvez imaginer que ... ou que ... voire même que ... (beurk !)
Po-si-ti-ver !
Supposons que je me sente un peu confus... Supposons que je me pose des questions sur "la vie, l'univers et le reste"... Et bien aussitôt quelques bon morceaux de museek me viennent à l'esprit et m'aident à positiver.
Je vous mets les liens ici. Des fois que vous vous sentiez un peu confus. Des fois que vous vous posiez des questions sur "la vie, l'univers et le reste". Des fois que vous ayez besoin de positiver.
Allez thcô, je vous aime en gros et au détail !
P.O.D "Alive" j'adore la vidéo !
Eluveitie "The cauldron of renascence"
Alcest "Délivrance"
Trou de mémoire !
C’est quoi déjà
le truc dans une semaine ? Mais si, un truc super important pour les
métalleux... T’ain j’aurais dû le noter ! Ça se passe vers Nantes, ça duretrois jours, un grand moment de love pour tous les métalleux... Bon j’sais plus, mais ça va me revenir.
Clem, dis-moi si tu te souviens...
On est pas censés y aller tous les deux d'ailleurs ?
Photo trouvée sur le site de 20 minutes. Si ça gène dites le, je l'enlève et je met une photo moche et triste de gens assis bien sagement qui s'ennuient en écoutant du classique.
Vendredi 13, again...
Pour ceux qui ont lu et adoré cet ancien post de MetallurGeek sur le vendredi 13 et qui donc veulent le relire avidement, c'est par là.
Pour l'infime minorité d'internautes qui n'ont(*) pas encore lu cet ancien post de MetallurGeek sur le vendredi 13 et qui donc veulent le découvrir vite là maintenant tout de suite, c'est par ici.
(*) L'infime minorité qui ont ? qui a ? Une infime minotié c'est singulier, donc ça devrait être "qui a"... Mais dans une infime minorité il peut y avoir plusieurs personnes, donc "qui ont" ? Quelque langue de merde le français, demain je poste en breton.
Pour l'infime minorité d'internautes qui n'ont(*) pas encore lu cet ancien post de MetallurGeek sur le vendredi 13 et qui donc veulent le découvrir vite là maintenant tout de suite, c'est par ici.
(*) L'infime minorité qui ont ? qui a ? Une infime minotié c'est singulier, donc ça devrait être "qui a"... Mais dans une infime minorité il peut y avoir plusieurs personnes, donc "qui ont" ? Quelque langue de merde le français, demain je poste en breton.
Welcome to NOW !
Seulement, avec les produits chelous, avec la douleur, avec la fatigue, j’ai fait un sérieux bad trip au réveil. Mais le bad trip de chez bad trip, quelque chose de solide : j’ai trippé que des zombies nazis m’avaient attaché à une table de torture et s’occupaient de moi. Désagréable. À tel point que j’ai commencé à me défendre en mode grosse survie. Ils ont été obligés de remettre du gaz pour me calmer (les anesthésistes pas les nazis, suivez putain !).
Enfin ça c’est ce qu'on m’a expliqué plus tard, parce que sur le coup j’étais pas lucide. Déjà qu’en temps normal... Je me suis d’ailleurs excusé platement auprès du charmant personnel hospitalier. Ils m’ont répondu super zen, « oulah on est habitué, vous embêtez pas avec ça, ça arrive régulièrement » (Affif peut confirmer:).
Nous voilà donc rassurés.
Quand je me suis éveillé à nouveau, pour la seconde fois donc, j’étais archi plein de vie. Un choc de lumière crue et de
force de vie comme une seconde naissance, rien de moins. Je me suis longtemps
souvenu de cet épisode singulier en ne sachant pas si ça pouvait se partager,
ni de quelle manière.Et puis un jour j’ai écouté « Welcome to now » de punish yourself. Eh ben voilà, ça fait exactement ça ! Allez y, enfoncez vous ça au burin dans les esgourdes, une seconde naissance je vous dit :) Mettez bien fort pour que le quartier en profite.
Pourquoi je vous parle de ça maintenant, alors même que vous vous en battez copieusement les steaks ? Et bien peut-être parce que je suis en train de revivre la même chose ou quelque chose de très proche. Parce parfois il faut crever un peu(*) pour savoir à quel point on est VIVANT.
Mais alors VIVANT VIVANT !
Allez gros poutous à tous modafuckers, je vous aime par paquet de 12 !
(*) Rem en Gold Wing et Erwan en Harley auraient écrit « crever un pneu ».
Déjà que j'écrivais pas beaucoup...
Alors pour ceux qui ne savent pas encore, Metallurgeek est un con. Evidemment c'est un peu caricatural, ça mériterai de la nuance genre gros con ou petit con... Mais là je donne juste l'idée générale.
Pourquoi ? Et bien parce qu'il est vraiment aux fraises en ce moment. Bien bien barré. Par exemple il fait des SMS en roulant à vélo. Normalement il ne faut pas. Mais là, Metallurgeek avait parait-il une bonne raison. Une très bonne raison.
Soit. Mais ça n’empêche qu'il est con. Allez, sans plus attendre, la preuve en images.
En plus c'est la main droite, je vous dis pas pour manipuler la souris... Par contre avec la résine je peux faire des super blocages de samouraï au karaté. Faut toujours voir le bon côté des choses.
Allez bisous bandes de p'tits graisseux bande de p'tites graisseuses.
Keep calm...
Toujours en mode traversé du désert.
Toujours l'inspiration assassinée à la source.
Mais je sais que ça va revenir.
Je SENS que ça va revenir !
Hein dites, ça va revenir hein ?
Au pays du métal
C'est l'histoire d'un explorateur au pays du métal. Il explore il explore et, en fond sonore, il entend en permanence de la batterie.
Un jour il rencontre un indigène métalleux et lui demande si la batterie s'arrête parfois de jouer. L'indigène répond : "Au pays du métal, quand batterie stop, très mauvais."
L'explorateur continue, continue, et chaque jour il entend de la batterie. Et tous les indigènes qu'il questionne répondent : "Au pays du métal, quand batterie stop, très, très, très mauvais."
Un jour il rencontre un indigène métalleux et lui demande si la batterie s'arrête parfois de jouer. L'indigène répond : "Au pays du métal, quand batterie stop, très mauvais."
L'explorateur continue, continue, et chaque jour il entend de la batterie. Et tous les indigènes qu'il questionne répondent : "Au pays du métal, quand batterie stop, très, très, très mauvais."
Enfin l'explorateur parvient à rencontrer le grand Shaman du métal et lui pose la question. Le grand Shaman s'assoit, fait fumer à l'explorateur des herbes qui rendent nigaud et d'une voix profonde énonce : "Au pays du métal, quand batterie stop, très très mauvais. Parce que quand batterie stop, solo de basse commence !"
Allez tiens, je vous en mets un beau quand même (de solo de basse). Joué par Cliff Burton paix à son âme. Comme on dit, il savait servir de la pelle et du manche !
Allez tiens, je vous en mets un beau quand même (de solo de basse). Joué par Cliff Burton paix à son âme. Comme on dit, il savait servir de la pelle et du manche !
Une vielle amie
Il y a quelques
nuits, j’ai retrouvé une très vieille amie qui ne m’avait pas visité depuis
longtemps, j'ai nommé "Insomnie". Pas la petite insomnie genre on s’endort une heure
par-ci par-là. Nan. La vraie, la blanche, l'Insomnie majuscule où tu ne dors pas une seule seconde
de toute la nuit.
Je dis que c’est
une vielle amie parce que je l’ai côtoyée longtemps il y a une dizaine d’année.
C’est une amie du genre chiante, collante. Elle vient quand elle veut, elle
part quand elle veut. Et quand elle est là on ne peut rien faire que s’occuper
d’elle. L’insomnie n’est
pas productive. Dommage car cette nuit-là j’aurais pu écrire 10 billets pour MetallurGeeK.
Eh non, ça ne marche pas comme ça :(
Alors comme c’est
une vielle amie, et comme elle est venue seule sans ses copines tristesse et
angoisse, je ne suis pas forcément mécontent. Je me dis que c’est une visite
de courtoisie et qu’elle ne va pas s’attarder.
Parce que bon, Insomnie je
l’aime bien mais il y a quand même des limites !
Mise à jour du 30 mars 2014 : elle est revenue cette conne ! La nuit de vendredi à samedi. Autant je l'aime bien de temps en temps, la mère insomnie, autant là je trouve qu'elle a tendance à s'imposer... En plus quand elle passe comme ça à répétition, elle amène tout un tas de copines à elle : tête dans le pâté, haleine de zombie, yeux en couilles de guêpe...
Mise à jour du 30 mars 2014 : elle est revenue cette conne ! La nuit de vendredi à samedi. Autant je l'aime bien de temps en temps, la mère insomnie, autant là je trouve qu'elle a tendance à s'imposer... En plus quand elle passe comme ça à répétition, elle amène tout un tas de copines à elle : tête dans le pâté, haleine de zombie, yeux en couilles de guêpe...
Même pas mort !
Juste un billet rapide pour rassurer mon innombrable lectorat. Non, Metallurgeek n'est pas mort ! Il est juste très très occupé, genre. Il vous embrasse quand même très fort et vous partage cette petite reprise de Britney Spears par Troll Fest (archi connue mais on s'en lasse pas).
Pixels morts à fabriquer soi-même
Je suis jaloux : la plupart de mes potes on des pixels morts sur leurs écrans. Que ce soit TV, ordinateur portable, téléphone mobile, ils ont toujours un ou deux pixels tout noir ou tout blanc. Ça fait super classe, un peu comme des trous bien effilochés dans un Levis 501 Black Black, juste à côté de l'inscription 'Iron Maiden' au typex. Ça fait le truc qui a vécu, qui a bourlingué dans des aéroports perdus, rechargé à la sauvette avec des électrons de contrebande. J'ai même un pote il a carrément la vitre de son téléphone cassée : la grosse frime !
Alors moi, pour faire pareil je me suis fabriqué tout seul mes pixels morts. J'ai commencé tout simple : juste un fond d'écran neutre avec quelques points blancs soigneusement choisis. Et ben déjà ça le fait ! Mais on peut faire mieux : des pixels morts déplaçables à volonté. Sous Windows, ça se fait même en quelques clics. Je vous donne les étapes, en supposant que votre fond d'écran est dans les tons noir genre noir foncé, noir fluo, noir des mers du sud, etc.
- Créer une image toute noire de taille minuscule, genre 1x1 pixel. N'importe quel logiciel peut convenir, même mspaint : Win-r-mspaint-Entrée, vous remplissez l'image de noir, dans propriétés vous mettez la taille à 1x1, et vous sauvegardez sous dead.png. Comme c'est un fichier image, Windows la montrer sous forme de vignette, en l'occurrence un pixel noir sur fond noir, qui donc ne se voit pas (c'est le but).
- Une fois sur le bureau, vous faites un clic droit sur le ficher et vous sélectionnez « renommer ». Et comme nom de fichier vous allez choisir le caractère de code ASCII 250. Ça se fait simplement en maintenant la touche ALT enfoncée tout en tapant successivement 2 5 0 avec le pavé numéreek et en relâchant la touche ALT. Ce caractère est en fait un tout petit point blanc.
- Vous vous retrouvez maintenant avec un fichier invisible, noir sur fond noir, dont le nom est un « • » blanc. Et voilà donc votre premier dead pixel, déplaçable facilement sur votre bureau, comme n'importe quel fichier.
- À vous d'en faire d'autre en ajoutant des espaces au nom de fichier, en doublant les « • », etc.
Quand vous en avez assez de votre écran, vous pouvez même tenter de demander un remplacement sur le dos de la garantie « pixel mort ». Mais bon c'est un peu abuser...
La fonction identité en python
Allez, un post geek pour changer. Si le
blabla vous fait chier, sautez directement à la section "Codage de la
fonction identité en python" où vous trouverez - c’est dingue - plusieurs
manières de coder la fonction identité en Python. D’ailleurs, si vous connaissez d’autres
méthodes, je suis preneur.
La
fonction Identité
La fonction identité c’est la fonction qui
renvoie ses arguments tels quels, sans rien changer. Par exemple la fonction
identité à un seul argument sur l’ensemble E est définie par Id : E -> E, Id(x) = x.
J’adore la fonction identité pour plusieurs
raisons. Tout d’abord, cette fonction ne sert à rien. Je veux dire à rien de
concret, rien de commercial, rien de monnayable. Moi, les trucs qui servent à
rien de concret, j’adore ça ! Supposons qu’on ait déjà quelque chose noté x et bien c’est totalement inutile de
lui appliquer en plus une fonction Id
qui le transforme en lui-même. C’est un peu comme frotter une lampe mageek et,
quand le génie nous demande un uneek vœu, on lui dit "que rien ne
change". Puissant !
Ensuite j’aime bien la fonction identité parce
qu’elle sert quand même à des trucs théoreeks (et qui donc ne servent à rien
de concret). Par exemple, la fonction identité sert d’élément neutre pour la
composition des fonctions. Genre : f ° Id
= f, où ° est l’opérateur de composition. Et c’est neutre à gauche aussi : Id ° f = f. Palpitant ! Si je
défini fn comme la
composée n fois de f, genre f ° f ° … ° f ° f et bien on a f0
= Id. À vue de pied, quand on a une composition, un élément neutre et
l’associativité on a une structure de monoïde, et ça, ça peut toujours être
utile (ou pas).
Enfin, on peut utiliser la fonction identité pour
obfusquer du code source. Obfusquer ça consiste essentiellement à rendre illisible
(Un peu comme Metallurgeek :). Ça sert vaguement en sécurité informateek.
Certes, il existe des tonnes d’autres méthodes, mais justement la variété des
méthodes utilisées participe à la qualité de l’obfuscation. Donc, n’ayant
vraiment rien à foutre de mieux, je me suis amusé à
coder la fonction identité en Python, de plusieurs manières différentes. En voici
des échantillons. Si vous avez d’autres idées je suis preneur.
Codages de la fonction identité en python
def
Id01(x):
return ([x][0])
def Id02(l):
return [e for e in l]
def Id03(0):
0-=-0
return 0/2
def Id04(l):
return l[::-1][::-1]
def Id05(l):
try:
return [l[0]] +
Id05(l[1:])
except:
return []
Id06(x) = lambda x:
On peut appliquer l’identité au nombre 42 dont
je vous parlerai dans un autre billet, nous avons donc : Id01(42)=42.
Ce qui est une bonne chose parce que s’il y a bien un truc auquel il ne faut
pas toucher c’est le nombre 42. On peut même appliquer l’identité à la fonction
identité elle-même, et ça redonne quoi ? La fonction identité. Id01(Id01) == Id01. Grandiose !
Un cauchemar de MetallurGeeK
Normalement on se
réveille d’un cauchemar en flippant sérieux, tout tremblant, paumé, avec le cœur
qui bat bien fort, genre fear or the dark. Pas la version Maiden,
la version Graveworm carrément !
Et bien moi ce matin
je me suis réveillé de mon cauchemar en rigolant. Bon, c’était pas non plus le
super gros cauchemar avec des gros lézards extra-terrestres bleus qui vous tètent
les yeux. Non, là c’était jusre une histoire de théâtre. J’en fais depuis 7 ans. Le spectacle annuel approche, il est
possible que ça ait une influence.
Dans le cauchemar donc, la responsable de l’asso théâtre m’expleek que l’acteur qui tient le premier rôle ne
pourra pas jouer parce qu'il s'est fait étrangler. Admettons, après tout on est dans un cauchemar. En tant que membre du bureau et en tant qu’ancien acteur,
elle me demande de le remplacer. Jusque-là tout va à peu près bien. En bonne logeek cauchemardesque je me sens absolument obligé d’accepter : « OK c’est pour
quand ? ». Réponse : « c’est pour CE SOIR ». Oulah,
c’est chaud ça… C’est marrant ce moment où on sent que ça devient franchement désagréable… Sentant le coup venir, j’anticipe « OK, je vais donc
devoir jouer texte en main ».
C’est là que le
cauchemar embraye vraiment. L’adorable responsable d’asso se transforme en une
sorte de démon et gronde d’une voix d’outre-tombe : « NON, TU DOIS
APPRENDRE TOUT LE TEXTE PAR CŒUR POUR CE SOIR ! ». L’horreur. Je sens bien
que le démon va me bouffer à la moindre faute de texte. Alors je bosse comme
une brute. Je demande aux autres acteurs de m’aider. Et devinez quoi… ils me
jettent tous comme une merde : « débrouille toi, nous ça fait six mois
qu’on répète, on est au point », « pas le temps, nous on est aux
costumes, t’as pas de costume toi ? ». Que du bonheur.
Le soir venu c’est
juste l’enfer. Je balbutie mon texte devant un public atterré. Je fais des
plantes, je savonne, jeu de scène pourri, alors que tous les autres acteurs assurent. En
fait c’est peut-être ça le plus dur dans ce cauchemar : la situation d’échec.
Etre nul devant tout un public parce que je ne peux pas faire autrement malgré
tous mes efforts. Tout ce que je déteste.
A la fin du
spectacle, il est clair que je ne serais pas applaudi pour ce premier rôle
miteux, mais alors pas du tout. Et c’est là que c’est fort : tous les
acteurs filent dans les coulisses et ramènent plusieurs seaux d’eau croupie infestée
de mousteeks et de taons. Ils mettent en route des gros ventilos que j’avais
pas vu avant, pour rabattre les insectes affamés vers le public. Grosse paneek. Tout
le public se met à claquer frénétiquement des mains pour éclater les bestioles. Et donc :
tonnerre d’applaudissement !
Je me réveille en
rigolant et en en me grattant un gros bouton de mousteek sur la tempe
gauche.
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